je....te
Salut l'amie
je te retrouve ,toi la vie
avec ton air con et ton regard bancal
je te retrouve le sourire aux lèvres
et ton rire à décoller la plèvre

aux yeux des autres....l'homme blessé

il est coupable
coupable d'avoir abandonné
coupable de lassitude
coupable d'avoir tout donné
par habitudes
aux yeux des autres
il est montré du doigt
il est devenu une chose
une bête ,assoiffée d’on ne sait quoi
mais vous qui ne le connaissez pas
l'avez vous vue déjà pleurer
l'avez vous écouté seulement une fois, rien qu'une fois
alors, ne le montrez pas du doigt
ne racontez pas n'importe quoi
et laissez le tranquille
laissez le vivre sa vie...ou le peu qu'il lui reste
car vous l'avez de part votre attitude...déjà tué

puisqu'il faut bien partir un jour

puisqu'on me l'a demandé

sans me retourner

je n'ai mot dire

et pourtant...

adieu je m'en vais

je laisse place à ce beau soleil

comme quoi

peu etre est ce un signe

on aurait dut discuter

j'en sais rien

dire les mots autrement

tu sais il arrive parfois dans la vie

ou la solitude laisse place à d'autres envies

des envies d'écouter ou d'entendre

rien de plus

et l'echange est la

qui participe à ameliorer notre quotidien

peut etre que j'avais besoin

peut que tu avais besoin

et d'un mot, en arrive un autre

et on se prend au jeu

et au depart

et rien de plus

tu as preferé fermer la porte à clé

alors puiqu'il faut je ne reviendrais pas

j'aurais preferé écrire un mot

pas comme celui la

mais voila

tu en as decidé autrement

un jour, qui sait

en toute amitié....se quitter...il le faut

à jamais ne plus ....Adieu

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alors....

ou le temps reprend sa place
le vide a laissé place aux larmes
les meubles retrouvent leurs empreintes
comme des statues de glace
la ou on ne les déplace
qu'à un prochain départ

le train toujours à l'heure
à l'heure des départs
jamais à l'arrivée dans les gares
et le monde
reprend sa place
pas le temps de penser
on vide les sacs
on entasse les souvenirs
les rires et les larmes
et ces doux moments passés
à contempler le temps et les paysages
à rire aux larmes
et s'amuser
et alors...que le temps passe
et alors....rien ne se remplace

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Les gens passent

n'arretent plus

plus un regard, un signe de tete

rien...

les gens passent

les jours aussi

le monde bouge

les temps changent

les jours rallongent doucement

le soleil commence à pointer le bout de son nez

timidement froidement

et les autos qui n'en finissent pas de rouler

les gens de passer

tout comme le temps

et le soleil ,le bout de son nez...

et le temps passe, le temps passé

et tout est effacé . 

Le temps n'est plus ce qu'il était...

c'est du passé

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si un jour je devais partir et ne jamais revenir

tu te rappel ce grand couloir

celui ou je te tenais la main pour le traverser

et bien c'est la bas que je voudrais aller

toutes ces femmes autour de toi

de tous cotés

avec leur belle robe blanche

et ce vent toujours present tout le long de notre vie

je voudrais que mes cendres rejoignent les tiennes

souffle de toi

souffle de vie

que le vent m'emmene 

bercé par les flots

aprtir à la derive

decouvrir enfin l'horizon

fermer les yeux et se retrouver au fin fond

de celle qui a bercé mon enfance et ma vie

la mer...

je sais que la bas tu es heureux

ha putain comme j'aurais aimé etre à ta place

parfois je m'en veux tu sais de ne pas etre à tes cotés

je pleure souvent

je continue à me demander pourquoi toi

pourquoi t'es partie si tot

pourquoi....

je n'aurais jamais les réponses

mais je me dis que tu n'est jamais partie

je vais souvent au bord de mer

je trempe ma main dans l'eau

l'impression de me rapprocher de toi

de te tenir la tienne...papa

si un jour je devais partir 

je voudrais qu'on exauce mes désirs

c'est pour ca que j'écris cette lettre

je sais qu'elle m'écoutera, elle...

lettre à ma mer....

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un grand coup de vent

tout se vide

tout brisé 

basculé

terminé

dit monsieur, c'est quoi la vie...

je suppose qu'avec cette nouvelle vie

le bonheur est à tes pieds

sinon à quoi ca a servit tout ca

enfant, ado, adulte

en famille, marié, parents

c'est un peu ca, normalement

le moule c'est cassé, la chaine est brisée

tu as tout balayé

pour ...voler de tes propres ailes

je suis comme ce navire à la dérive

et je vois l'autre con qui ricane dans mon dos

ouai je sais, je devrais pas écrire

mais tu sais quoi

j'emmerde le monde et j'emmerde la vie

un grand bras d'honneur à toutes ces années

et tu sais pourquoi

je suis un homme libre 

balayée ma vie, grace à toi

mais tu t'en fout je suppose

chut ne parlons pas de moi

puisque je n'existe plus

Adieu, balayée ma vie...

et depuis me diras tu

 je revois le soleil

rien n'est plus pareil

et le bonheur...

on le cultive

jamais un jour comme l'autre

jamais de jours comme avant

j'ai balayé le temps

les années et les souvenirs.

envolée ma vie...balayée

pour toujours.

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ces silences autour de moi

à peine un bruit

ou si parfois une auto

un peu de vent 

qui vient claquer les volets deja clos

mais rien d'autre

en plus, le vide s'installe

on devient sauvage

aux yeux des autres

ils nous disent renfermé

renfermé...comme ils disent

comment alors leur faire comprendre

comment leur dire

comment s'exprimer

on voudrait tant

etre moins seul

mais eux sont trop loin

mais ca, ils ne le voient pas

on a pleins d'amies

des amies

comme ils disent aussi

mais si je ferme les yeux, t'es plus la

regarde la verité en face

virtuel mon amour

je te vois, je ferme les yeux 

je t'efface

mais elle ,elle est toujours la

avec moi

cette putain de solitude

qui a pris place dans ma demeure

chut...

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un jour j'ai eu envie de prendre la route

vous savez ces moments ou rien ne va

ou vous avez l'impression

que la terre vous tombe sur la tete

ou le ciel , vas savoir ....

je conduisais tranquille 

bord de mer

une belle ligne droite

et j'ai eu, l'envie de braquer tout à gauche

direction la mer

 pourtant me direz vous

je suis toujours la

comme quoi on est lache dans ces moments la

pas le courage

ou une seconde de reflexion

c'etait limite

mais parfois je vous le cache pas

cette putain de solitude

qui me pourri la vie

les gens ne savent pas ce que c'est

que d'etre seul...

et si............

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comme je te retrouve.....
........................SOLITUDE MON AMOUR.

je me suis habillé de solitude
j'en avais presque perdue l'habitude
solitude mon amour
comme tu m'as manqué....

le bruit des voitures a remplacé les cris
le ciel est un peu plus bleu
un peu moins gris
mes pensées sont moins tristes aussi
ma vie ,toujours aussi seule

mais quelque part je ne pleure pas
ma vie passée
est passée, morte à jamais
ensevelie sous des tombeaux de larmes

je m'habille de cette vie la
le bruit, le monde
je n'entend plus tout ca
je te retrouve enfin
je suis serein entre tes bras
en attendant, en t'attendant toi....

solitude mon amour
tu es devenue mon jardin
mon pied à terre
c'est presque rien et en meme temps
c'est tellement important
la vie....
solitude mon amour.

eric villey Détenteur de copyright inscrit 00052936 ericvilley@copyright.com

DÉRISION COOKINE.....

coucou,cook t'es ou.....combien de....

si je met dix
que je divise par deux
il me reste un maximum à respecter
cuisson inversée
posez posez vos questions
on ne réfléchit plus
on ne cherche pas
la facilité vous dis je ma pauvre dame, la facilité
mais combien de....
au secours j'ai des vapeurs
trop d'eau ,pas assez de sel, trop de temps
et sous les aisselles
ha ,je me marre
le mien a brulé
pas ici vous dis je c'est des voleurs
dieu me protége ma soeur
coucou t'es ou...cook et hooooo
allez menageres , à la bonne cuisine
on s'y perd ,on s'y perd
plus jamais ca
il a changé ma vie
comme quoi ,faut pas grand chose, lol.....pour rendre une femme heureuse

Amen....

je n'ai pas de dieu en qui croire
pas de priere à reciter
le dieu dont vous me parlez a t'il seulement un jour existé
amen ,pauvre pecheur
je me nois sous des mots
blasphèmes et pedalos
pendant que le soleil est au zenith
d'autres font la manche dans les métros
la vie ,n'est pas la meme pour tout le monde
la ou certains font les poubelles pour manger
d'autres se font chier à chercher des fautes sur un papier
et vous me parlez d'un dieu
alors qu'il leve le doigt
et que le miracle commence
le seigneur a dit leve toi et marche
il devait y avoir une societé secrete ce jour la à ses cotés
mais deja je sent la fievre en moi monter
je vous sent exxité
à la lecture de ces mots
ais je secoué votre petite vie
vous ais je choqué
ho, excusez le
pere il est ivre
il ne sait pas ce qu'il ecrit
saurez vous un jour lui pardonner
Amen...

eric villey Détenteur de copyright inscrit 00052936 ericvilley@copyright.com

se heurtant à tout
toi à ta vie simplement
les roulants c'est la vie qui leur fonce dedans
tantot des marches
par la des portes
qui ne s'ouvrent pas ou qui restent fermées
les roulants
parfois ne roulent plus
entre ces démarches ,non j'ai pas fais expres des marches................
même les mots s'en mêlent pour les roulants
entre ces gares qui n'ont pas de passage
et ces passerelles infranchissables
que de barrières sur leur route
et pourtant il faut vivre, en roulant
tous les jours
toi tu te heurte
à des problemes courants
et deja tu râles
je te laisse imaginer
la vie d'un roulant
sans râler
car à force
le roulant il s'epuise
et baisse les bras
toi tu continue ta petite vie, tranquille ,en marchand
lui elle, eux
tous ces enfants, ces femmes ,ces hommes
continuent leur vie, en roulant
tant bien que mal
se heurtant, à la hiérarchie, aux organismes
à ces putains de lois que ne sont pas adaptées
à eux ,les roulants
les roulants, ils sont comme toi
comme toi ...en roulant

eric villey Détenteur de copyright inscrit 00052936 ericvilley@copyright.com

habillé ...

de mots je suis recouvert
mon corps entier pour l'été comme pour l’hiver
je n'ai pas froid
juste parfois ..un peu comme ca
allez savoir pourquoi....

j'avais

j'avais ce rêve d'un coté
de l'autre j 'avais cette histoire
j'avais ce rêve que je touchais
du bout des doigts dans le noir
j'avais toi à porté de mes doigts
j'avais elle, que je ne supportais pas
elle est morte, je parle de cette vie la
la partie ou tous tes rêves s'envolent
mais ceux que tu sais
que tu n'aurais jamais réalisé quoiqu'il en soit
il me reste toi
j'ai des rêves à partager
j'ai toi d'un coté et ces rêves la
j'ai cette belle histoire avec toi
et nos rêves communs
notre seule espérance, s'envoler avec nos rêves à nous....
pour une vie ensemble
et même si c'est un rêve alors
laissez nous rêver....

la ou...

alors que le monde s'éparpille
de miettes de gens écrasés sur la route
caricaturés mes mots, blessés ,asphyxiés pas trop...
la ou le monde se tire dessus
dessous, dedans
on m’empêche de respirer
courir courir pour s’échapper
fuir, fuir, la vérité
cachée derrière des pantins complétement désarticulés

la ou ,fuir est la seule verité
pour qui ,les yeux ,veut garder fermés....
et derriere tout ca il y a
derriere ces pleures ....

la ou la mort demande a etre euthanasiée
demander....elle est deja sans vie
ou partie dans le monde d'à coté
avez vous autre chose à revendiquer...
droit ,droit...on reparle d'une certaine liberté

mais moi je ne demande rien
la ou les mots s"écrasent en vains eux aussi
la gueule sur le bitume
et eux qui ne cessent de ricaner
je voudrais pouvoir hurler
comme le loup à la mort..
la ou personne n'est d'accord
le fric est plus fort que les lois
et toi tu regarde tout ca
en montrant du bout des doigts
on voudrais faire crever le monde
qu'on ne s'y prendrais pas autrement

la ou ....je ne demande rien
un jour peut etre
ou bien demain
juste le droit de vieillir à tes cotés
la ou...ailleurs je m'en fout
main dans la main
à oublier ce monde de dingue
et le reste...ferme les yeux
je suis toujours la....

eric villey Détenteur de copyright inscrit 00052936 ericvilley@copyright.com

je pense donc je suis....libre de penser

elle cache son corps
sous ce long vêtement
de la tête aux pieds
sont corps tout entier est caché
en quoi cela vous géne
vous qui cachez votre croix sous vos vêtements
vous avez peur de quoi à ne pas montrer
ce signe religieux qui est le votre
et qui pourtant tous les jours, vous portez
on cri à l'imposture
pour un voile en public
à j'oubliais
ca n'est pas un voile
mais une burqa
merde, je porte moi meme une croix
je devrais donc l'enlever
la france ,terre de liberté
pour les uns ,n'est pas la même pour les autres
et pourtant ils sont français
comme vous comme moi
ils n'ont juste pas ...
la meme croyance
parfois j'ai envie de gerber
à lire ce que je vois
mais je ne crois qu'à ce que je veux
je suis libre de m'exprimer
enfin ....gardons la fois
pauvres pécheurs que nous sommes
jusqu'à l'heure de notre mort....

eric villey Détenteur de copyright inscrit 00052936 ericvilley@copyright.com

liberté..libre.

liberté d'expression
quel est vraiment ton nom
comment la nommez vous
quand vous l'autorisez pour certains et pas pour d'autres
elle est ou votre liberté....
liberté décrire, liberté de respirer de vivre
dans le respect de tous
c'est cela
au mot liberté on aurait du r'ajouter respect
je m'imagine bien votre monde
des cordes tendues en guise de couloirs
avec des étiquettes à chaque bout
liberté ici....liberté surveillée par la
prison ici, à mort la bas
et l'église qui s'en mele
et si un jour on nous apprend que la religion n'existe pas
qu'elle a etait inventée pour creer les peuples
whouaaaa, je vous dis pas le gros bordel....
et la vous faites quoi de la liberté
imaginez un monde sans religion
j'ose à peine y penser, mais juste à peine
en attendant aimez vous les uns les autres
comme moi je peux l'aimer...
liberté.libre de droit....respect de l'autre

eric villey Détenteur de copyright inscrit 00052936 ericvilley@copyright.com

si peu....

j'aurais pu commencer ce texte par on est rien, et alors on se laisse mourir, on laisse la vie bouffer notre corps et notre âme s'enfuir ....et pourtant

on est si peu de chose
et ce si peu est si important
pour tout ceux ,qui eux...
ne croivent plus en rien...
on s'apercoit de l'importance de notre peu
quand le sourire revient
quand les gestes de tous les jours
redeviennent un quotidien
quand l'autre dit je ne suis plus rien
et que ce quelqu'un avec ce si peu lui tend la main
et pourtant, je pensais tellement etre si peu
presqu'un rien
mais je m’aperçois etre tellement aux yeux des autres...
je me donnerais presque de l'importance...et pourtant...
j'ai si peu à vous donner

au monde entier....

mon corps entier manifeste
mais au milieu de tout ce bruit
se cachent des guerres
au monde entier dites lui
que j'ai perdue la vie
et milles, dix milles, cent milles autres de mes freres
dites lui que nos enfants sont violés
nos femmes massacrées
nos terres pillées
et que vos corps ne se manifeste pas, pourquoi
dites moi....pourquoi ?
parlez lui du Nigeria, parlez lui d'Afrique
d'Asie et de tous ces pays la
parlez lui de ces peuples dont on ne dit rien
parce qu’eux ne rapportent rien....
profit, pour un puit, de pétrole
un bout de terre, des frontières qui s'envolent
et puis j'en sais rien
de toutes ces magouilles
je sais je devrais fermer ma gueule
mais vous savez, vous y etiez vous
vous l'avez appelé liberté
je la prend cette liberté
je continue à l’écrire
mais c'est l'histoire qui me l'a dicté
ne les oubliez pas eux
peuples du monde
ou ces silences inondés de larmes
au monde entier...

j'ai ou je ne dois....

j'ai ouvert mes volets
retiré la clé de ma porte
je suis sortie regarder le temps
puis j'ai repensé à tout ca
je suis rentré
je me suis barricadé
j'ai pris une vieille palette en bois qui trainait par la
j'ai cloué les planches à mes fenêtres
pour ne plus laisser passer le jour
j'ai fermé ma porte à double tour
j'ai coupé la lumière
et je me suis assis sans bouger
j’étais prêt à retenir ma respiration
à faire le mort, comme dans une reconstitution
quel con ,mais quel con
j'ai viré ces planches
j'ai ouvert ma porte en grand
j'ai ouvert mes fenêtres
laissé l'air rentrer
et j'ai crié ton nom
en dessinant des moutons sur les murs des autres maisons
des portraits et même Mahomet que j'ai moi aussi caricaturé
des nuages avec des anges qui chassaient les démons
et j'ai crié ton nom
liberté...

La maison se vide petit à petit
les pièces résonnent
ca sent le départ..............
je laisse quoi de tout ca
enfant, ados ,adultes
bien trop tot mariage
proprietaire maison, enfants....
autre maison
un enfant part
divorce..
l'autre enfant part...
propriétaire locataire seul.......
les murs se taisent
ils ne parlent qu'à moi
ils me raconte les projets que j'avais
cet atelier de peinture à jamais fermé
cette exposition permanente qui ne verra jamais le jour
comme si tout avait basculé...
les murs se taisent à nouveau
ca sent le départ bientôt
une nouvelle vie seul cette fois si
seul ici seul en ci
et si maman si, et maman si tu voyais ma vie
moi aussi je pleure plus que je ne ris
et les murs de la maison pleurent aussi
ho maman si tu voyais ma vie
je part la bas à l'autre bout de chez moi
la ou les regards ne se croisent pas
avec deja d'autres propositions de projets
des demandes d'expositions qui tombent à nouveau
je ne tomberais pas cette fois ci
et les murs me racontent cette histoire
de celui qui était trop petit
qui levait les bras dans le noir
au milieu de la foule
et personne pour le voir.................!!!
les murs se taisent à nouveau
la porte se referme...Adieu
je ne part pas
c'est ma vie d'ici qui est morte...
et les murs pleurent à nouveau...