Sexesens en toi....

Eros pret de ton corps
enveloppe charnelle
tu dors...
mes doigts glissent sur ton corps
Eros dans tes reves
endroit humide se reveil
la ou mes doigts te ballade ,te bascule
et l'objet t'empale et s'emparant de ton corps transhumant
humifiant, nos langues se melange
transe ,chut....transparent
rien ne se voit
tout se sent
mort ne crie pas
jouissance en accord
à corps à corps
parfaitement...à deux de toi et moi
à deux doigts...de l'extase.

tout et rien....

tout est calme, reposé
le froid n'est pas, l'hiver absent
les passants aussi ,des rues
tout est la et en mème temps rien
tout va bien
je n'ai besoin de rien

et pendant que les mots...

des échanges de haine
et ont parlent d'une guerre
il en faut des mots des uns des autres
et pendant que ceux ci fusent de tous cotés
j"ecoute et que dire.
le monde est remplie d'hommes plus intelligents les uns que les autres
certains persuadés d'avoir la verité
connaissant l'histoire mieux que des Capello
ho... maitre...deux mots !!!!!
et pendant que les mots, j'écoute
le chant des oiseaux
les voitures sur la route
et le reste apres tout
ouai et le reste apres tout
je suppose que la aussi vous avez tout prevus
la fin ou le debut
à se souler les uns contre les autres
vous n'aurez jamais la paix
et moi je repose mon ame
pendant que les mots
qu'elle repose en paix

ce moment...
ou tu marche dans la vie, une lampe à la main, ho, pas qu'il fasse nuit ,ni autre chose, de toutes façons, t'as peur de rien...et le cri des corbeau au dessus de ta tête, ou t'as pas l'air con, ni con ,ni bête d'ailleurs. Les jours passent, les nuits aussi, ou tu te prélasse attendant que le monde change : bouge de la...t'es tout seul, t'es comme un con, tu te bat dans ton coin contre des moulins à vent, pour qui ?pourquoi ? comme avant, comme avant, comme avant... comme avant de ce reve qu'on cherchait vraiment, et qui la on se heurte à un mur et t'as plus rien, ni derriere ni devant, tu fais quoi....ce moment ou t'es seul dans ta vie, morte vie, solitude mon amour, je te perdrais un jour, ou bien, la vie me quittera et tu ne sera pas la, et le monde non plus, toutes façons je m'en fout, ce monde la n'existe pas...ou pas pour nous...ce moment ou tu te rend compte qu'on c'est foutu de ta gueule, que tout ça c’était du vent et que celui ci a tout emporté, meme les miettes tombées au sol, de ces oiseaux qui cherchaient la becquetée...pov mec !!! c'est à ce moment la que tu te pose, que tu croise les bras ,et merde...ce moment ou t'as tout compris et en meme temps il est trop tard...t'as plus rien, ou si, t'as plus que ta vie entre les bras et la sienne, et vous vous serrez tres fort avant qu'on vous la prenne...c'est ce moment la...

que mon cœur assassine...

tout mon corps pleure
mon coeur tremble
de ces cris la nuit
entends tu ces bruits
ca tire, ca vole
ca hurle, ca mort...

que mon coeur assassine
et mes larmes de sang

j'entends ,je vois, je ne dort plus
suis je en vie
et dans quel monde vis-je...

je marche, je me retourne
j'entends des pas
foutaise que ces voix..

entendez vous
nos compagnons
que nos cœur saignent
sous un fanion

election
de qui de quoi
de paroles de bois
de l'eau qui coule
et qui fait deborder le vase

à qui ,je vous le dis
à qui profite ....
mais chut j'entends des voix
j'entends des cris
je ne dors pas, plus
j'aime plus la nuit
que mon coeur assassine

il est trop brave le soldat...

rien ne sera plus comme avant...

ericvilleypoemes@copyright.com
poèmes sous copyright inscrit numero 00052936

et n'oublie pas...

écrire des mots d'amour
toujours simplement
les fautes on s'en fout
tant que l'amour est la
le reste est obsolete
une carte postale
un beau timbre
le gout de tes levres sur celui ci
et penser quand tu écris
tes soirée,tes journées aussi
les jours qui passent
les nuits ou il fait froid chez toi
et moi je suis la à attendre de te voir enfin
trois mois
c'est court et c'est long à la fois
et je m'abreuve de tes mots
et je termine ta lettre
ou tu me dis
...et n'oublie pas : que je t'aime
que pourrais je te repondre que cette phrase
que nous répétons toi et moi
à chacun de nos courriers
moi aussi je t'aime...à la vie à la mort
à toi...

je sais pas si je pourrais continuer à écrire

peut etre suis je trop sensible

je suis trop sensible...

mais la c'est trop

trop de morts, trop de blessés

trop de commentaires racistes, trop d'amalgames

trop d'un coup ,he merde

trop de tout ,trop c'est tout

je pensais que j'allais pouvoir reprendre ma vie

tout recommencer tranquillement dans mon coin

hegoistement personne pour me faire chier

et cet attentat, ces attentats qui font deborder le vase

tous ces morts

le regard des gens

les paroles

les mots, les yeux

le regard, les yeux

la peur

moi aussi j'ai peur

et pourtant je suis loin de Paris

mais voila, je pleure pour eux, je pleure pour vous

comment voulez vous avoir une vie tranquille en ayant vecu 

de pret ou de loin

d'internet interposé

ces recits d'une seule nuit

une guerre en une seule nuit

j'ai peur et je pleure

une pensée encore je ne fais que ca

mais que puis je faire d'autre

qu'est ma vie à coté

de la votre maintenant

vous qui avez perdu un des votre

un parent ,un ami ,un enfant,une amie

une femme un amant

que sais je, que dis je

je vais continuer de penser à vous 

en écoutant Louane

le titre....changer le monde

 ericvilleypoemes@copyright.com
poèmes sous copyright inscrit numero 00052936

je voulais vivre

je dormais d'un sommeil profond
trop fatigué endormi sur mon canapé à 21h45
puis un truc bizarre j'ai senti qu'il se passait quelque chose
reveillé à 2h du matin
j'ai feuilleté le net
et mes premiers ecrit etaient...attentats sur Paris.
rien, je ne comprend plus rien à la vie
à la mort
c'est pas ca la vie
combien faudrat'il encore de victimes
j'ai une pensée émue pour toutes ces familles
j'ai une pensée pour toutes celles et ceux qui habitent la bas
moi je suis la
à lire tout ca
je voudrais pouvoir venir ou partir j'en sais rien
je pourrais etre dans ses bras et la reconforter
lui dire que tout ca c'est un vilain reve
et que le monde va se reveiller
etre avec mes appareils photos
et pouvoir vous aider à travers des clichets
Paris la belle, Paris restera
je sais il ne faut pas avoir peur
mais moi d'ici je ressent votre angoisse
alors, il faut du courage
et croiser les doigts
que tout ceci s'efface
ca prendra du temps
que voulez vous que d'autre je fasse
ci ca n'est qu'avec de simples mots vous reconforter
à vous mes amies toutes mon amitié
Paris vivra...

et ces gens la ...et ces mots

Parfois dans la vie
on croise des gens
ily a ces gens la
avec leurs mots
on pense qu'ils n'en font pas expres
on se dit ,ha humeur agressive ca passera
plutot jalousie maladive ou je ne sais quoi...

il y a ces gens la...et ces mots la
il y a ces gens sensibles, trop sensibles parfois
et ces gens la
qui se font un malin plaisir à vouloir faire mal
sadisme controlé
et ils voudraient se faire passer pour des victimes
pauvre de moi
quand je regarde le monde
et dire que dieu a fait le monde à son image
alors on se demande qui a dechiré le livre

et ces gens la...et ces mots la
et nous au milieu de tout ca
et eux qui se foute de nous
nous restons la
les bras en croix...
et ces mots la...et ces gens la

ericvilleypoemes@copyright.com
poèmes sous copyright inscrit numero 00052936

heureux qui comme...

j'ai dormis de tout mon corps
d'un sommeil sans bruit
songé , pensé, revé
le tout en parfaite harmonie
j'ai vus les fleurs, les papillons
j'ai meme compté les moutons

rien....

Des mots pour remplir une page
vierge et c'est bien la seule en ce bas monde
toujours ces gens qui courent
on se demande parfois
ou ils vont à cette vitesse la

novembre et ses souvenirs

si le mois de novembre n'existait pas
comment feraient-ils
je vois encore ces files de voitures
à l'entrée des cimetieres
et chrysanthème, par ci et chrysanthèmes par la
mais moi aussi je t'aime et je t'aimerais toujours
meme dans 10 ans ,100ans
pas qu'une fois par an
ha fetes des morts une fois par an
comme si la mort etait une fete
une fois pour se souvenir qu'avant ils etaient vivant
une seule fois
moi je le pleure tous les jours mon pere
je vais le voir sitot que je peux
je passe du temps avec lui
avec lui, avec eux bien sur
les disparues de ma famille
j'ai toujours une pensée pour ma famille , mes amies
mes disparues, j'aime pas ce mot
un peu comme le mot souvenir
on a l'impression que c'est un mot partie
et que d'un seul coup d'un seul
on s'en souvient
et parmis tous ces gens
qui se balladent une fois par an
d'ailleurs
qui s'en souvient vraiment...
j'en entend certains
ca y est, la corvée est faite
j'ai etais fleurir pierre ,pleure,chiale ...
ca te vas si bien de faire la triste
de faire croire, comme si c'etait un devoir, une fois par an...
une fois par an....
ha novembre et ses souvenirs

tout est calme....

Les voitures ne font que passer
et jamais ne s’arrêtent...
les enfants chez eux sont rentrés
haha, j'en rigole encore
de leur petite tête deguisée
bariolée de peintures
sous le regard des passants à frapper aux portes

il passe

inlassablement, il passe
les feuilles jonchent le sol
recouvrant les massifs de fleurs
il passe ,noel arrive à grand pas

je reve...

De partir d'ici
de trouver une region ou l'art a un interet pour les gens
ou on s'arrete au chant d'un oiseau
ou on regarde pousser les fleurs
ou les larmes sont des colliers de perles
et non des pleures
je reve qu'on m'arrete dans la rue
pour etre pris en photo
pourquoi pas poser nue
habillée ou meme de dos
je reve de matins ensoleillés
de voisins qui savent dire bonjour
de gens civilisés
je reve d'un art retrouvé
de passion à en crever, à en crever
mais je reve bien sur
tout ca n'existe pas..
alors je vais faire comme eux
les gens d'ici
devenir égoiste
penser à moi meme
ne plus regarder le ciel
les yeux penchés sur le sol
gueuler sans arret
jeter mes papiers dans les rues
me garer sur les trottoirs
et dire non à toute participation
pour pouvoir encore plus raler apres
dire qu'il ne se passe rien
c'est monnaie courante en Manche
bienvenue chez eux
ici je ne suis pas chez moi
mais ne vous inquietez pas
tout ceci n'est qu'un reve
je vais me reveiller
et surement trouver un monde meilleurs
meilleurs....ailleurs
mais je reve surement tout ceci n'existe pas...

te...

Te lasserais tu
avec le temps va
tout s'en va
et les souvenirs et les rires font place aux larmes
le temps serait-il venu
en effet tu as le droit
liberté....
tu voudrais voler de tes propres ailes
je reste en bas à regarder
tu te lasse, tu t'enlasse
que je te laisse
reprendre ta place
je ne veux gener personne
que je m'en aille
partir...souvenirs, desirs
que dois je comprendre
si je me met à ta place
sans la prendre
te...

et parfois...les mots

ils font défauts parfois
des fautes souvent, ca c'est moi ...toujours meme
ne pas savoir quoi dire
et en meme temps en avoir tellement sur la conscience...
j'aurais tant à m'exprimer
je voudrais lui parler, de quoi...chut c'est secret
toujours nos mots à nous

en ton absence..

Pas un bruit
pas à pas
la maison est vide de toi
et je fais silence malgres tout
peur de te reveiller
je sais que tu n'es pas la pourtant
mais surement le manque de ton toi...
je marche doucement
l'impression de t'entendre bouger, respirer...
chutt....elle dort
mais non, elle n'est pas la
j suis seul
et ce telephone qui ne sonne jamais
on s'imagine que tout va bien pour toi
donc ,pourquoi s'inquieter
si, on s'inquete si tu n'appel pas toi...
pas de courrier
pas de visites
rien que toi et moi
j'ai parfois l'impression d'etre seul au monde
que le reste n'existe pas
que je deviens égoiste
mais...regarde autour de moi !
il ni a rien, rien d'autre que toi
qui n'est pas la
alors oui j'ose le dire

de toi....

De savoir que bientot
apres trois mois
c'est dur cette putain de vie
pourtant je me disais que trois mois c'est rien
rien ,presque rien il en reste deux depuis
et pourtant les jours, les semaines
l'année tout passe bien trop vite
l'ete à peine terminé que nous voici deja à la noel
et je manque de toi...
de vous, de cet air, de cette ville
de ces gens ,de ces rues ,de ces vieilles batisses
les billets de train sont deja commandés
et je sais que je devrais repartir
toujours dans la même gare sur le même quai
pendant combien de temps encore
verrais je tes larmes couler sur tes joues
sans pouvoir faire marche arriere
et te donner un dernier baiser
j'ai hate...de toi
bientot

les TM et jtmm...

j'aime pas les jtm trop bref en sms
quand tu m'abandonne le soir à mon destin
mais je comprend que parfois tu ne sois pas bien
j'aime pas les jtm sans suites, sans point, sans virgule, sans arret
j'voudrais des jtm qui ne s'arretent jamais
des jtm à l'infini
des jtm sans cesse,des bisous, des calins, des baisers
des embrassades à n'en plus finir
j'aime pas les jtm trop courts
ceux qui me donne l'impression que tu vas partir
stp ,pas trop loin mon amour
jtm aussi tu sais
jtmmm trop ou pas assez
jtm à la folie ,j'voudrais l'crier au monde entier
jtmmmmm sans fin, juste de toi...

ERIC VILLEY

Détenteur de copyright inscrit 00052936

parfois seulement .

il y a des fois ou je me demande ce que je fais la
d'autres ou ca va, ca va....comme toi
des moments ou la solitude m'envahie,je sais comme toi aussi
j'aurais envie d'avoir du monde, et en meme temps ...pas
mais parfois elle te pese cette putain de solitude
parfois seulement, parfois...
je me dis que ca passera, ou pas
et le temps passe quand meme
et la journée est terminée
est le soir arrive, puis la nuit
et je suis la dans le noir
seul à penser, comme toi aussi je le sais
dejeuner, bosser, rentrer ,manger dormir
entre deux profiter un peu de la vie
accompagné tous les jours de cette fidele amie
solitude mon amour
parfois seulement, oui parfois
comme toi aussi je sais
parfois seulement...

si.....
si j'avais un mot à dire avant de mourir
si on me demandait mes dernières volontés
si dans mes derniers soupirs je devais le murmurer
si tu me le demandais
et si je devais te l'avouer
je te dirais tout simplement
et ca résumerait tout ce que je pense de toi
toutes mes pensées
toutes mes idées
toute ma folie aussi
et tout toi......

l'automne est la

je reste blotti dans des silences
qui ne me réchauffe pas
j'ai froid dehors, j'ai froid dedans
je sent la pluie et les coups de vent
ce vent glacial qui nous vient de la mer
et que tu ne connais pas
j'aimerais t'emporter sur ces plages
te faire decouvrir mes paysages
nous laisser deriver sur une vague
et se laisser emporter loin, tres loin
les saisons passent ,cite bien trop vite
l'année est passée
j'ai l'impression de ne t'avoir ,juste croiser
que le temps est court
je voudrais rallonger les jours, les nuits à tes cotés bien sur
les réveilles et les bonjours
j'aimerais rallonger le temps prêt de toi
mais voila
les jours passent encore plus vite
les aiguilles de l'horloge accélèrent elles aussi
l'automne c'est habillé de son plus beau manteau
l'automne est la...

vas savoir...

parfois je me dis que je devrais partir
tout quitter ,ne jamais revenir
la bas
ou regnent le calme et la sereinité.
boulot, appart, le peut d'amies que je puisse encore avoir
faire sa valise, redonner les clés
fermer la porte, et ne plus se retourner
une impression de deja fais...
ou alors attendre
combien d'années encore
à m'ennuyer seul dans mon coin
ici ou il ni a rien
ou rien qui ne fonctionne vraiment dans mon domaine
ou on te regarde à peine
meme pas un bonjour ,comment ca va
la ou les passants, passent comme le temps
sans un regard ,et en meme temps
il ne te connaisse pas....
la ou l'art, je dis l'art
j'ai l'impression d'etre le seul ici à parler de ma passion
autour de moi ,on s'en fout un peu, un peu, juste un peu
j'ai plutot l'impression parfois d'etre pris pour un con, si peu, si peu...
alors il serait si facile pour moi d'etre la bas
rien ne m'en empeche
apres tout je suis libre, liberté
peut etre que c'est ce mot
peut etre que je suis seul la aussi à la respirer
vas savoir....quand je suis pret de toi

je pourrais...

me priver de manger, s'il le fallait
de boire ,de courir, de sourire
je pourrais ne plus travailler et me laisser mourir
je pourrais ne plus aimer les fleurs et arreter d'écouter les oiseaux
ne plus aimer sentir la nature
marcher pieds nus dans l'eau
devenir pouilleux, sdf,
me refugier dans l'alcool
poser nue pour ELLE
me faire casser la gueule
voler une poubelle
des conneries, des trucs pas possible
je pourrais m’arrêter de vivre
dire à mon coeur de ne plus respirer
mais ne me demande jamais
d'arreter de t'aimer

tant et tant de choses

le jour se leve à peine
et je reflechie à tout ca
meme si ca seet à rien de perdre son temps à penser
penser, mot de merde destiné à faire place à l'angoisse
et j'ai tant et tant de choses encore à faire
sur cette putain de terre
qui part en decadence
et danse et danse
profite de ta vie avant qu'elle ne profite de toi
je devrais marcher, marcher
courir, partir à ,'e, plus finir
loin ,tres loin
mais je suis comme eux
j'entends les bombs, je vois des morts partout
ouvrez les yeux, le monde est devenue fou
et vous avec, nous avec..
et les Charlie, et j'en ris
pas de quoi,merci
et le dernier hebdo
provocation
on se fout de la gueule du monde
et rien ne dit, personne ne rien
chut, j'en perd mes mots
tant et tant de choses
qui n'ont servies à rien
entrainés par un gouvernement
manipulé, des marionnettes vous dis je
ha ils vous ont bien eu
et il reste tant et tant de choses à faire
et à venir...et avenir...

solissicitude....

ca se situe entre solitude et habitude
et comme d'habitude la porte etait ouverte et personne n'est entré
ce qu'il y a de bien dans les divorces
c'est que personne t'emmerde
les amies sont du coté de la speudo victime
on vient pas te voir
soit disant par peur de deranger
ou alors on pretexte que tu ne serais surement pas la
le telephone ne sonne pas non plus
normal on est sur que tu vas appeler
alors t'es la
pensant que peut etre t'aurais une visite
meme une petite
vous savez l'ami qui vient prendre une tasse de café ou discuter
prendre de vos nouvelles
celui qui s'interesse à ce que vous faites
à vos projets
l'ami ou l'amie
bref niette des miettes personne ne vient
solissicitude
apres on va me dire que je deviens sauvage
que je ne veux voir personne
tu m'etonne...
prend ma place et regarde autour de moi
à part les vautours
qui rodent comme toujours
la place est vide
et c'est pas quand je ne serais plus la
qu'il faudra pleurer
putain de solissicitude
je vais reprendre ma route
allant de gauche à droite
errant de ci de la
à chercher mon image
à travers mes clichets
mais comme les journées sont longues mon amour...
sans toi...