habillé ...

de mots je suis recouvert mon corps entier pour l'été comme pour l’hiver je n'ai pas froid juste parfois ..un peu comme ca allez savoir pourquoi....

j'avais

j'avais ce rêve d'un coté de l'autre j 'avais cette histoire j'avais ce rêve que je touchais du bout des doigts dans le noir j'avais toi à porté de mes doigts j'avais elle, que je ne supportais pas elle est morte, je parle de cette vie la la partie ou tous tes rêves s'envolent mais ceux que tu sais que tu n'aurais jamais réalisé quoiqu'il en soit il me reste toi j'ai des rêves à partager j'ai toi d'un coté et ces rêves la j'ai cette belle histoire avec toi et nos rêves communs notre seule espérance, s'envoler avec nos rêves à nous.... pour une vie ensemble et même si c'est un rêve alors laissez nous rêver....

la ou...

alors que le monde s'éparpille de miettes de gens écrasés sur la route caricaturés mes mots, blessés ,asphyxiés pas trop... la ou le monde se tire dessus dessous, dedans on m’empêche de respirer courir courir pour s’échapper fuir, fuir, la vérité cachée derrière des pantins complétement désarticulés

je pense donc je suis....libre de penser

elle cache son corps sous ce long vêtement de la tête aux pieds sont corps tout entier est caché en quoi cela vous géne vous qui cachez votre croix sous vos vêtements vous avez peur de quoi à ne pas montrer ce signe religieux qui est le votre et qui pourtant tous les jours, vous portez on cri à l'imposture pour un voile en public à j'oubliais ca n'est pas un voile mais une burqa merde, je porte moi meme une croix je devrais donc l'enlever la france ,terre de liberté pour les uns ,n'est pas la même pour les autres et pourtant ils sont français comme vous comme moi ils n'ont juste pas ... la meme croyance parfois j'ai envie de gerber à lire ce que je vois mais je ne crois qu'à ce que je veux je suis libre de m'exprimer enfin ....gardons la fois pauvres pécheurs que nous sommes jusqu'à l'heure de notre mort....

liberté..libre.

liberté d'expression quel est vraiment ton nom comment la nommez vous quand vous l'autorisez pour certains et pas pour d'autres elle est ou votre liberté.... liberté décrire, liberté de respirer de vivre dans le respect de tous c'est cela au mot liberté on aurait du r'ajouter respect je m'imagine bien votre monde des cordes tendues en guise de couloirs avec des étiquettes à chaque bout liberté ici....liberté surveillée par la prison ici, à mort la bas et l'église qui s'en mele et si un jour on nous apprend que la religion n'existe pas qu'elle a etait inventée pour creer les peuples whouaaaa, je vous dis pas le gros bordel.... et la vous faites quoi de la liberté imaginez un monde sans religion j'ose à peine y penser, mais juste à peine en attendant aimez vous les uns les autres comme moi je peux l'aimer... liberté.libre de droit....respect de l'autre

si peu....

j'aurais pu commencer ce texte par on est rien, et alors on se laisse mourir, on laisse la vie bouffer notre corps et notre âme s'enfuir ....et pourtant

au monde entier....

mon corps entier manifeste mais au milieu de tout ce bruit se cachent des guerres au monde entier dites lui que j'ai perdue la vie et milles, dix milles, cent milles autres de mes freres dites lui que nos enfants sont violés nos femmes massacrées nos terres pillées et que vos corps ne se manifeste pas, pourquoi dites moi....pourquoi ? parlez lui du Nigeria, parlez lui d'Afrique d'Asie et de tous ces pays la parlez lui de ces peuples dont on ne dit rien parce qu’eux ne rapportent rien.... profit, pour un puit, de pétrole un bout de terre, des frontières qui s'envolent et puis j'en sais rien de toutes ces magouilles je sais je devrais fermer ma gueule mais vous savez, vous y etiez vous vous l'avez appelé liberté je la prend cette liberté je continue à l’écrire mais c'est l'histoire qui me l'a dicté ne les oubliez pas eux peuples du monde ou ces silences inondés de larmes au monde entier...

j'ai ou je ne dois....

j'ai ouvert mes volets retiré la clé de ma porte je suis sortie regarder le temps puis j'ai repensé à tout ca je suis rentré je me suis barricadé j'ai pris une vieille palette en bois qui trainait par la j'ai cloué les planches à mes fenêtres pour ne plus laisser passer le jour j'ai fermé ma porte à double tour j'ai coupé la lumière et je me suis assis sans bouger j’étais prêt à retenir ma respiration à faire le mort, comme dans une reconstitution quel con ,mais quel con j'ai viré ces planches j'ai ouvert ma porte en grand j'ai ouvert mes fenêtres laissé l'air rentrer et j'ai crié ton nom en dessinant des moutons sur les murs des autres maisons des portraits et même Mahomet que j'ai moi aussi caricaturé des nuages avec des anges qui chassaient les démons et j'ai crié ton nom liberté...