l'automne est la

je reste blotti dans des silences qui ne me réchauffe pas j'ai froid dehors, j'ai froid dedans je sent la pluie et les coups de vent ce vent glacial qui nous vient de la mer et que tu ne connais pas j'aimerais t'emporter sur ces plages te faire decouvrir mes paysages nous laisser deriver sur une vague et se laisser emporter loin, tres loin les saisons passent ,cite bien trop vite l'année est passée j'ai l'impression de ne t'avoir ,juste croiser que le temps est court je voudrais rallonger les jours, les nuits à tes cotés bien sur les réveilles et les bonjours j'aimerais rallonger le temps prêt de toi mais voila les jours passent encore plus vite les aiguilles de l'horloge accélèrent elles aussi l'automne c'est habillé de son plus beau manteau l'automne est la...

vas savoir...

parfois je me dis que je devrais partir tout quitter ,ne jamais revenir la bas ou regnent le calme et la sereinité. boulot, appart, le peut d'amies que je puisse encore avoir faire sa valise, redonner les clés fermer la porte, et ne plus se retourner une impression de deja fais... ou alors attendre combien d'années encore à m'ennuyer seul dans mon coin ici ou il ni a rien ou rien qui ne fonctionne vraiment dans mon domaine ou on te regarde à peine meme pas un bonjour ,comment ca va la ou les passants, passent comme le temps sans un regard ,et en meme temps il ne te connaisse pas.... la ou l'art, je dis l'art j'ai l'impression d'etre le seul ici à parler de ma passion autour de moi ,on s'en fout un peu, un peu, juste un peu j'ai plutot l'impression parfois d'etre pris pour un con, si peu, si peu... alors il serait si facile pour moi d'etre la bas rien ne m'en empeche apres tout je suis libre, liberté peut etre que c'est ce mot peut etre que je suis seul la aussi à la respirer vas savoir....quand je suis pret de toi

je pourrais...

me priver de manger, s'il le fallait de boire ,de courir, de sourire je pourrais ne plus travailler et me laisser mourir je pourrais ne plus aimer les fleurs et arreter d'écouter les oiseaux ne plus aimer sentir la nature marcher pieds nus dans l'eau devenir pouilleux, sdf, me refugier dans l'alcool poser nue pour ELLE me faire casser la gueule voler une poubelle des conneries, des trucs pas possible je pourrais m’arrêter de vivre dire à mon coeur de ne plus respirer mais ne me demande jamais d'arreter de t'aimer

tant et tant de choses

le jour se leve à peine et je reflechie à tout ca meme si ca seet à rien de perdre son temps à penser penser, mot de merde destiné à faire place à l'angoisse et j'ai tant et tant de choses encore à faire sur cette putain de terre qui part en decadence et danse et danse profite de ta vie avant qu'elle ne profite de toi je devrais marcher, marcher courir, partir à ,'e, plus finir loin ,tres loin mais je suis comme eux j'entends les bombs, je vois des morts partout ouvrez les yeux, le monde est devenue fou et vous avec, nous avec.. et les Charlie, et j'en ris pas de quoi,merci et le dernier hebdo provocation on se fout de la gueule du monde et rien ne dit, personne ne rien chut, j'en perd mes mots tant et tant de choses qui n'ont servies à rien entrainés par un gouvernement manipulé, des marionnettes vous dis je ha ils vous ont bien eu et il reste tant et tant de choses à faire et à venir...et avenir...

solissicitude....

ca se situe entre solitude et habitude et comme d'habitude la porte etait ouverte et personne n'est entré ce qu'il y a de bien dans les divorces c'est que personne t'emmerde les amies sont du coté de la speudo victime on vient pas te voir soit disant par peur de deranger ou alors on pretexte que tu ne serais surement pas la le telephone ne sonne pas non plus normal on est sur que tu vas appeler alors t'es la pensant que peut etre t'aurais une visite meme une petite vous savez l'ami qui vient prendre une tasse de café ou discuter prendre de vos nouvelles celui qui s'interesse à ce que vous faites à vos projets l'ami ou l'amie bref niette des miettes personne ne vient solissicitude apres on va me dire que je deviens sauvage que je ne veux voir personne tu m'etonne... prend ma place et regarde autour de moi à part les vautours qui rodent comme toujours la place est vide et c'est pas quand je ne serais plus la qu'il faudra pleurer putain de solissicitude je vais reprendre ma route allant de gauche à droite errant de ci de la à chercher mon image à travers mes clichets mais comme les journées sont longues mon amour... sans toi...