Je ne dis rien, je n'accuse pas
Je ne témoin, ni me dérobe pas
Je
me dsk, je me tapie
Je gène
On me tire dans le dos
La
manipulation quelle qu’elle soit est trop flagrante
Je peux me tromper,
je peux quand même m’exprimer
Et même si j’ai tort
L’histoire se
répète
Je me la Pète, j’ouvre trop ma gueule
Je Delarue, je tapie,
je DSK, et bien d’autres encore
L’information est complètement
flouée
Et moi et moi et moi
Petit chinois
On me laisse
mourir dans mon coin
Et moi famille des victimes de Karachi
On ne
s’occupe plus de rien
Et moi dans tout ça
Qu’est ce que je
deviens
Info, info, intox , un vrai
Allez savoir, un vrai du
faux
Chercher l’erreur …
Pourquoi on se tait sur le reste des
infos passées
A qui profite le silence ?
Question posée…
Détenteur de copyright inscrit 00052936
L’artiste
il te suffit d’un rien pour t’arrêter
Chevalet à la
main tu suis ta route
Soudain une ligne, un trait
Un bout de
chemin
Le souffle du vent, un goéland qui passe
Tu tiens ta
toile
Tu t’installes
Tu connais déjà toutes tes couleurs
La main s’affole sur la toile
Elle aussi connaît sa route
Elle n’hésite pas
Le tableau prend forme
Un trait, deux
traits
Un bateau, un port
Un visage, un paysage
Peu
importe
Tu fais revivre sur un morceau de toile
Une nature morte
Un paysage oublié
Toi l’artiste….
Tu ne parles pas, tu bouges tes lèvres
Tu ne m’entends pas, tu suis
mes lèvres
Et moi je discute avec toi
Une vraie conversation
parfois
J’entends tes silences
Sur le mouvement de ta bouche
Tu comprends mes doléances en regardant le mouvement de mes yeux
Ma voix pour toi c’est mon visage
C’est elle qui fait parler mon
corps
Ta voix pour moi
C’est tous les silences que tu sors de ta
bouche
Quand, tu ne parles pas
Car tu ne parles pas, tu ne
m’entends pas
Tu es , sourd , muet
Moi je te comprends, juste un
peu de patience
Un peu de volonté et essayer de t’écouter ne pas parler
C’est ça le plus dur avec toi
Écouter les mots que tu ne dis
pas….c’est un peu comme
Être au fond de l’océan en apnée, se laisser
aller
Et écouter les sons du silence
C’est ça une conversation
avec toi
C’est toujours entendre les mots
Que tu ne diras
jamais….et pourtant
Dans ce monde de larmes il ne regarde que lui
Étalant ses peines
sa souffrance mais autour, il n’entendait rien
Il a fallu un
génocide, dans un raz de marée, pire qu’une guerre
Un événement
que l’on n'oubliera jamais
Haïti…et aujourd'hui il a encore
frappé au Japon
Et nous que faisons nous
A
regarder tous les matins notre nombril, nos ennuis, nos
soucis
Nos petits bobos de la vie
Haïti…Japon
...que faisons nous...à nous plaindre
Ils n’ont plus rien et
..plus rien c’est peu dire
Ils ont tout perdu, pire que la mort,
pire que la vie
Dans l’horreur totale
Mais
réveillez-vous donc
Que ferez-vous pour
eux
Arrêtez de ne penser qu’à
vous
Haïti…Japon
Juste pour qu’ils se
reconstruisent
Pensez à eux avant d’étaler vos
soucis
Moi, ma vie s’arrête aujourd’hui
Pourquoi
me direz-vous ?
Elle n’est rien à coté de tous ces enfants, de
tous ces gens meurtris
Haïti…rappelez-vous
pour que
personne n'oublie aujourd'hui Japon....Haïti
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à la dérive
Je pars à moitié ivre
Comme ce bateau ,qui se laisse
emporter voguant à la dérive
Sans voile ,sans but précis de voyage
Je me
laisse emporter
Noyé par le passé
Nageant à contre courant et flottant de
temps en temps
Je me laisse emporter
Et pourtant je résiste
Les vagues
me berce, je suis à contre courant
Sac et ressac, vagues à l’âme
Âme en
peine
Envers et contre tous
Mais je m’en fous
Je cours à perdre
haleine
Je m’essouffle à peine
Je respire, me tranquillise
Chut,
respirer ,à plein poumons
Prendre la vie à bras le corps …tenir
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Je cherche ce grand couloir
Dans lequel je pourrais courir et me sauver de
tout ce brouillard
Je cherche la lumière, à contre jour à contre
sens
Celle que je regardais dans les yeux ,encore hier
Je n’ai pas peur de
l’avenir
Du présent non plus
Je sais ce que je vais devenir
Je regarde
juste ce que je suis devenu
Je cours ,je cours
Essayant d’échapper à la
réalité
Je ne me sauve pas
Je lui tend les bras
Mais pas du bon
côté
Je cherche une échappatoire
Dans laquelle je pourrais me
confondre
Un truc creux où je pourrais me cacher
Où je pourrais avec la
nature me confondre
Rester là, cloîtré, arrêter ma vie
Ne serait-ce qu’une
seconde
Ne trouvant pas, j’ai arrêté ma montre
Les aiguilles ne tournent
plus
Plus d’heures, plus de minutes, pas une seconde
Le temps s’est
arrêté….stop….
Mais pour combien de temps?
Court, bien trop court… et je
m’enfuis, rattrapé par la vie
Je vis comme je suis
Je vais là où je dois aller
Et si je
rencontre un obstacle
Je vais droit dans le mur
Et les pierres
fissurées, cassées, écrasées
Des miettes de mon moi broyé, noyé,
oublié
Je vis la vie que je dois avoir
Et même si dans celle-ci,
je broie plus de noir
Que le soleil qui circule autour de vous
Je
me plais dans mon obscurité
Et les fenêtres calfeutrées, fermées,
cloîtrées
Des secrets de mon enfance enfermés à tout jamais
Des
secrets de ma vie gâchée
Je vis le peu qu’il me reste
Mais que
reste-il de ma vie?
De celle ci en tout cas
Je sais qu'après une
autre vie m'attend mais en attendant
Qui suis-je? …juste un homme sans
ombre, sans vie..
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Savez-vous ce qu’est la solitude ?
Mon rêve est de devenir quelqu’un de
connu, de reconnu ;
Je deviens petit à petit un inconnu.
Savez-vous ce
qu’est la solitude ?
Celle où vous êtes entouré de monde
Et eux ne vous
voient pas,
Celle où, du jour au lendemain, on ne vous reconnait plus en tant
que tel,
En tant qu’être humain,
Celle où on vous laisse, on vous
abandonne pire qu’un chien.
Savez-vous ce qu’est ma solitude ?
Celle où je
voudrais parler,
Lever la main pour effleurer,
Celle où, juste à ce moment
là ,une personne est là pour vous couper le bras.
N’avez-vous jamais éprouvé
ça ? Etre abandonné,
Ne pas pouvoir parler librement,
Être écouté sans
cesse pour trouver votre faiblesse,
Celle qui vous mènera droit à
l’enfer.
Connaissez vous ma vie ?
J’ai perdu mes amies,
J’ai tout
abandonné,
Et je reste là, enfermé, attendant que passe le temps, les
années,
Attendant enfin d’être libéré de mes chaînes,
Et un jour, être
enfin reconnu en temps que tel
Déjà en tant qu’être humain,
Redevenir
moi-même ,
Et qui sait, peut être, être célèbre un jour…
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Je voulais écrire un Ave Maria, un Ave rien que pour moi
parce que
Je parle avec ces mots-là, ces mots-là comme il dit
...
ces mots:
....qui sont parfois si durs à
écrire
Même cet Ave Maria à lui tout seul, je l'entends
pleurer
Écoutez ce violon qui crie à l’agonie, voyez ses larmes
couler
C’est un Ave Maria, une cérémonie, non, c’est plus triste que
ça
Un hymne à je ne sais trop quoi, qui est mort? Pourquoi tout
ça
On se demande parfois pourquoi les gens pleurent
On ne se
demande jamais pourquoi ils meurent on n'a pas le temps
ILS partent
déjà…
On ne se pose pas de questions à ne plus voir telle ou telle
personne
On l’apprend, déjà il est trop tard...
Et cet Ave Maria
qui n’en finit pas de pleurer toutes les larmes de son corps
Que puis-je
faire, je suis désemparé, mon corps, mon âme, sont sans remords
Je suis
seul devant mes mots, mes larmes aussi coulent à flot
Mais trop tard bien
trop tard
On pleure toujours trop tard les gens qu’on aime….
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Je me souviens ce jour là
Tes mains posées sur moi
Je ne savais pas ce
que tu faisais
Trop petit pour penser, trop fragile, trop faible
Trop
bébé…
Je pourrais te raconter
Ces mots qu’on, à l’époque, ne pouvait
prononcer
Je pourrais hurler maintenant ce que je ressens
J’ai toujours la
sensation de sentir tes mains sur moi
J’ai toujours l’impression d’être
sale
Et toi…tu vis comment maintenant
Et toi…arrives-tu à vivre
seulement….
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Un souffle, un zéphyr, une larme de vent
Mon seul désir
Juste entendre
gémir, petit être vivant soupir d’une vie
Mais cela devra-t-il suffire
Un
instant le voir sourire… et peu de temps après
Le silence, un seul cri et
l’enfant vient de mourir
Vivre, sourire et… mourir
Quelle est cette forme
de vie
Où le sourire d’un enfant se résume à une simple tranche de vie?
La
naissance et en une journée passer de cet état de vie à la mort
Un souffle,
un zéphyr, autant en emporte l’enfant
Juste le temps de le voir sourire
De
lui dire
De dire un mot à ses parents
Et de le voir… partir
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On dit que monsieur le curé se taperait une bonne sœur
On dit que ses
parents coucheraient dehors
Que la maison serait vide
Parce qu’on lui a
jeté un mauvais sort
On dit que la rumeur c’est presque plus fort qu’une
guerre
Sans armes elle peut détruire une terre entière
On dit que Jules
Verne a découvert la terre
Je me demande où il avait les pieds ce jour
là….
On dit aussi que le chocolat fait grossir
Que Weight
Watchers
ferait maigrir
Même pas le droit de rester comme ça
Moi je
vous le dis
La rumeur c’est pas ma copine à moi
Elle déforme tout, elle
accentue, elle tourne en rond, elle rend fou…
On dit ,que demain il va
geler
Tout ça parce que les mouettes aujourd’hui sont blanches
J’ai oublié
de regarder hier comment elles étaient
Ca aurait calmé la rumeur
On dit
tellement de choses qu’elle ne devrait exister
On devrait la condamner
d’ailleurs
Pour non assistance à personne en danger…la rumeur
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C’est une porte close
Fermée sur une rue déserte
De temps en temps les
passants s’y arrêtent, juste une petite pause rien de plus…
C’est une porte
close, une maison sans fenêtres
Les murs sont décrépis, la peinture est
défaite
Ont dit d’elle que jadis
Des filles de joie, habitaient
celle-ci
Depuis les maisons closes ont fermé
Et les filles s’en sont
allées ailleurs ,chercher leur vie
C’est donc comme beaucoup d’autres
vieilles bâtisses
Devenu une porte close
J’aimerais pouvoir pousser
celle-ci
Sentir son histoire, m’en inspirer et pourquoi pas la faire
revivre
Elle restera ainsi
Une porte close
Elle emportera avec elle
ses secrets et son histoire
Avant que des promoteurs immobiliers
Autour
d’un verre un soir, décident de la détruire
Et ce ne sera plus, qu’une leçon
de chose
Que je vous aurais écrite
Les seules traces de son passé…
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Quand vous faites partie d’un groupe, on vous met avec d’autres personnes un peu
comme on pourrait ranger des numéros ; vous n’êtes rien en fait... mais on a
besoin de vous, alors vous aidez ; et là,ce jour là, le premier de juillet, on
m’a mis avec un autre gars …mais un problème s'est posé à ce moment précis où on
m’a dit…
"Tu vas avec lui, mais on a un problème : on ne sait pas si c’est un
gars ou une fille !".
D’un sourire, j’esquisse et de répondre : "ça va, les
gars, foutez-vous de moi pendant que vous y êtes ! On ne me la fait pas à moi.
". Un des chefs arrive et me dit…"Comme tu parles bien et que tu sais quels mots
employer, on a un problème et on a besoin de toi pour savoir, on sait pas si
c’est un gars ou une fille".
Pour moi, les choses sont devenues vraiment
sérieuses, et là commence mon poème….
Un air troubadour, vue de
dos
Les cheveux longs, noirs, raides, une silhouette fine
Un peu une
Axelle red au masculin…de loin
Puis il se rapproche de moi
De plus en plus
et déjà, stupeur !!
Le teint blanc, timide, maigre
Ce qui devait être
"il"
Et ce qui est "il" pour l’administration est devant moi
Et elle, car
c’est bien un visage de fille que j’ai en face de moi
Elle est super
mignonne, des lèvres bien dessinées
Un décolleté que certaines femmes
envieraient
Un bonjour avec une voie hyper féminine
Mon "il" était en fait
une "elle"
Où est le problème ? Comment faire ?
Comment lui dire ?
La
question ...Je me lance
Je peux te poser une question ?
Heee, oui, vas y
!
T’es un garçon ou une fille?
Réponse…C’est compliqué….
Là, j’avais en
fait tout compris aussitôt.
En fait, pour l’administration, elle est née
garçon
Mais, physiquement, c’est une fille.
Dur, dur !
J’ai en fait
passé dans mon mois de juillet quelques heures avec elle…lui
À la regarder
faire…un vrai mec et en même temps
Une jolie nana.
Alors que dire à cela
?
Nous, nous ne nous sommes pas parlés depuis la fameuse question
Mais des
regards ont suffi à me donner des réponses
L’échange ne s’est fait qu’entre
nos regards, rien de plus.
Il ou elle a compris en fait que je ne demanderai
rien
Je savais déjà.
Alors, à vous qui montrez du doigt deux hommes
qui se donnent la main
À vous qui traitez de gouines deux filles qui
s’embrassent
À vous qui ne savez pas les années que ces jeunes là
passent
Le temps qu’il faut ensuite pour que toutes ces moqueries
s’effacent
Acceptez, acceptez ces personnes, ces jeunes de votre
âge
Acceptez les différences …Réfléchissez à toutes les souffrances que ces
gens là
au cours de toute leur vie sont obligés de supporter
Acceptez-les
simplement …J’espère qu’un jour, elle viendra lire cela
À toi
…simplement.
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J’ai voulu suivre tes rêves pour arriver jusqu’à toi
J’ai marché
derrière toi, pour ne pas que tu entendes mes pas
Parfois dans la nuit
noire, souvent je me suis rapproché
Sentir ton doux parfum, être à tes
cotés, enfin…
J’ai voulu longtemps partager tes journées
Tes
joies, tes peines, tes sourires ensoleillés
Je n’ai jamais compris
pourquoi, toutes ces années, je me suis trainé
J’avais l’impression
d’être là, et je ne l’étais pas
J’ai toujours essayé de faire le premier
pas,
En général toujours celui qu’il ne fallait surtout pas
J’ai
tout fait à l’envers
Ma vie est une descente aux enfers
Je ne suis
que moi, simplement
Avec mes mots et mes rêves …
La vie à coté
m’est passée
La mort elle, saurait-elle aussi m’oublier…
Vivre,
peut-être que ce mot devrait hanter mes pensées
Au vent du nord
Que le zéphyr ne suffirait à calmer
À la colère
que même toutes les prières ne pourraient apaiser
À toi, que je cherche à
jamais
À moi, perdu pour toujours
À nous, noyés dans notre
amour
À eux, qui se moquent à qui mieux-mieux
À cet horizon qui
arrive et qui aura raison de notre avenir
À notre futur qui ensevelira
tous leurs délires
À toi vers qui je tends les bras…prends ma main
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Quand le jour s’endort tout doucement
Que la nuit, délicatement, vient
frôler son corps
Quand les deux amants s’entrelacent et que leur corps à
corps ne fait plus qu’un
J’aime me retrouver à demain…
Les
derniers bruits, écoutez…
Les derniers cris, les pas qui fuient dans la
nuit
Tableau…
J' erre de ça, de là, de bar en bar
De pire
en pire
Cherchant je ne sais quoi , je n’ose le dire
Regardant ces
amants à l’intérieur de leur voiture, jetant un œil d’un air voyeur
Monde
de la nuit
Comme tu as les yeux qui pétillent
Monde de la nuit,
amoureux…
Couleurs…
Le bleu se mêle au noir
Les nuages se
çachent, le soleil s’amuse avec, on dirait deux gamins
Cette femme qui
court, ou va-t- elle ?
Sac à main serré contre elle, noir de chez
Ribambelle
Un parfum de chez Chanel
Un je ne sais quoi , je ne
sais rien d’elle
Juste un vol d’hirondelles et puis plus
rien
J’aime ce calme, j’aime cette absence de rien , j’aime ce
manque…même s’il ne manque rien
J’aime ce tout…
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Et quand tu pars, que j’entends tes pas dans le couloir
La porte se
referme, et clap de fin… plus d’histoire
Et quand l’amour se meurt et que
les larmes échouées sur les trottoirs
Et triste et se meurt le temps
passé et des années entières au cimetière
Je tourne le dos à cet enfer,
ce boulet traîné à mes pieds depuis trop d’années
Je referme à mon tour
cette porte à clé
Mon cœur s’est verrouillé à tout jamais
J’espère
que tu ne reviendras plus, j’ai peur la nuit
Peur d’entendre tes pas dans
ce grand couloir
Peur de cette ombre qui me suit dans le noir
Peur
que je te fuis pour rien, rien vraiment rien
Trop tard, il est vraiment
trop tard…
Nous sommes des êtres de tissu
Morceau de papier déchiré de tous
côtés
Broyé, mâché, chiffonné, jeté
Nous sommes des êtres de
papier
Marionnettes maniées, manipulées, enchevêtrées, mêlées
mélangées…
Nous sommes ce que avons choisi d’être
Nous ne
sommes
Que des hommes, nous pauvres hommes en somme que nous
sommes
Mais que sommes nous devenus…
Un corps nu, sous une
enveloppe charnelle, appelée…homme
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Tu tournes autour des mots
Tu joues avec tes mains
Tu es
magicien
Tu les emportes en une folle farandole
Appelée
phrase
Tu claques dans tes mains
Puis …un point…puis , plus
rien…
Le ton est le bon, j’en perds mon latin, pas un accent
Pas
un verbe qui n’ait l’air de rien…
Magicien des mots…souffle m’en un…juste
un.
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Je t’écris pour ne rien dire
Je voudrais juste que mes mots viennent à
toi
Poussés par un vent de désirs,
Que tu puisses simplement les
toucher du bout des doigts.
Je ne t’écris pas,
Je susurre à ton
oreille
Des morceaux de phrases, des bouts de soleil.
Qu’ils
éclairent ta vie
Qu’ils soient, un instant,
Même le peu de temps
que cela dure,
Une lumière pour toi, un bout de vie,
Un rêve si tu
n'y crois pas,
Mais un instant que tu garderas en toi.
Laisse-moi
écrire nos souvenirs,
Laisse en nous les mots pénétrer,
Laisse le
désir monter,
Laisse-les dire….
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Je ne crains
Ni le froid ni le chaud
Je ne crains pas l’éclat
de tes mots
Je ne vis que par défaut
Je suis programmé pour
t’aimer
Je ne fuis pas l’ombre de tes bras
Je ne suis pas l’ombre
de moi-même
Et même si j’ai l’impression d’avoir peur de toi
Je ne
suis pour toi qu’un diadème
Enfermé dans un écrin de bois
Sans
valeur extérieure
Sans foi ni loi
Je ne suis en fait que, juste
moi même...
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Si je n’ai plus de papier pour écrire
Je me servirais de
ton corps
Je le sentirais sous la pointe de mon stylo,
respirer
Je pourrais déchirer mes mots, sur ce corps qui
soupire
Je pourrais hurler mes douleurs et pousser mes
cris…
Même sans écrire, juste en posant la mine sur ta peau, je
te chuchoterai mes mots
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Dédicace de l’auteur : Ce site est avant toute chose un cadeau pour mes amies de Haute Marne, je veux parler de la famille Barbant ma deuxieme famille.. sans eux ,je n’aurais pas réussi à traverser, certains évènements de ma vie, et je n'aurais surement pas continuer à écrire ainsi...
J'ai découvert cette famille, mes amies ,et j'ai en même temps découvert une région ,un pays, une ville: Chalindrey, j'ai découvert la Haute Marne, ce site est donc pour eux, en remerciement de toutes ces années ,ces mois à m’avoir aidé dans un moment de ma vie ou j’en avais le plus besoin…Carine,Fatima,Nicolas, Frédérique,Serge MERCI du fond du coeur ...Un grand merci à tous ces gens qui me soutiennent sur facebook ou ailleurs, merci à toutes ces personnes qui me permettent d'avancer, je sais que ma situation va durer, et je sais que j'aurais encore beaucoup besoin de soutien, alors merci à vous....
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